By Elias Biryabarema
KAMPALA, Oct 22 (Reuters) – Uganda said on Monday it would stop mediating in the conflict between the Democratic Republic of Congo and M23 rebels if the U.N. Security Council endorsed accusations that Uganda was supporting the rebels.
A report by a U.N. panel of experts leaked to Reuters last week accused Uganda and Rwanda of providing support to M23, whose insurgency has displaced half a million people in North Kivu province, which borders both countries.
The report, written for the U.N. Security Council's Congo sanctions committee, said Uganda had allowed M23's political branch to operate from Kampala in addition to providing M23 with troops, weapons, technical help, political advice and facilitation of external relations.
M23
20/10/12
Le Bishop RUNIGA LUGERERO, coordonateur du M23, de retour d’un long séjour de Kampala est arrivé à Bunagana, et a tenu ce samedi 20/10/2012 une conférence de presse devant un parterre d’une trentaine de représentants d’organes communicationnels tant nationaux qu’internationaux. Quatre points essentiels ont été évoqués par le leader du M23. Tout d’abord, il a tenu informé la presse du motif de son long séjour en la capitale ougandaise. En effet, ce long séjour se justifie par le fait de la demande du médiateur de la CIRGL, le président de l’Ouganda, d’entendre et d’essayer de comprendre les motivations qui anime le M23 dans sa révolte contre le pouvoir central de Kinshasa.
AFP
18/10/12
BUNAGANA — Le président de la branche politique du mouvement rebelle M23, actif dans l'est de la République démocratique du Congo (RDC), a menacé de reprendre l'offensive si des "négociations directes" ne s'ouvrent pas "le plus tôt possible" avec les autorités congolaises, dans des déclarations à l'AFP.
"S'il n'y a pas de négociations qui se font le plus tôt possible, il y a risque qu'il y ait des affrontements dans les jours qui viennent", a déclaré Jean-Marie Runiga mercredi à Bunagana, une localité située à la frontière avec l'Ouganda, dans l'est de la RDC.
Tommy Chouinard
11/10/12
(KINSHASA, République démocratique du Congo) Le gouvernement Marois refuse de rencontrer l'hôte du 14e Sommet de la Francophonie, le président de la République démocratique du Congo (RDC), Joseph Kabila, qui a un sombre bilan en matière de droits de l'homme. Il veut plutôt «donner un élan» à l'opposition et aux organisations non gouvernementales (ONG) afin de favoriser le «retour à la démocratie».
Lors d'un point de presse à Kinshasa jeudi, le ministre des Relations internationales, Jean-François Lisée, a reconnu que le lieu du sommet est «problématique». Comme il l'a rappelé, Joseph Kabila a été réélu l'an dernier à la suite d'un scrutin «truffé d'irrégularités».
«Que personne ne se méprenne sur le sens de notre présence ici. On n'est pas là pour légitimer la dernière élection présidentielle, mais pour accompagner la société congolaise vers plus de démocratie», a affirmé Jean-François Lisée.
AFP
10/10/12
KINSHASA — La rébellion Mouvement du 23 mars (M23), qui opère dans l'est de la République démocratique du Congo, a "salué" mercredi la déclaration du président français François Hollande, qui a jugé "tout à fait inacceptable" la situation de la démocratie en RDC.
"Le M23 salue la déclaration du président français François Hollande affirmant qu'il n'y a pas de démocratie, ni de droits de l'homme et que l'opposition est marginalisée", a déclaré à l'AFP le lieutenant-colonel Vianney Kazarama, porte-parole du groupe actif depuis mai dans la province du Nord-Kivu.
"La communauté internationale commence à reconnaître et à découvrir les vraies réalités de notre pays. C'est parmi les causes de notre lutte armée", a-t-il ajouté.