La Sud-Africaine Nkosazana Dlamini-Zuma a été élue présidente de la Commission de l'Union africaine (UA), le dimanche 15 juillet au soir, à Addis-Abeba, lors du 19è sommet de l'institution. Quatre tours ont été nécessaires aux chefs d'Etats réunis en huis clos pour départager le match entre le Gabonais, Jean Ping, président sortant, et sa concurrente.
Au premier tour, Dlamini-Zuma a emporté 27 voix contre 24 pour Ping. L'écart n'a ensuite cessé de s'élargir. Au deuxième tour, l'ancienne ministre des Affaires étrangères sud-africaine a gagné deux partisans supplémentaires (29 voix contre 22), puis, au troisième, 33 contre 18.
Cotonou, Benin – About a dozen of African heads of State and government have arrived in Cotonou to attend Saturday's mini-summit of the African Union (AU) devoted to the security situation in the continent. They are presidents Idriss Déby of Chad, Denis Sassou Nguesso of Congo, Alassane Dramane Ouattara of Côte d’Ivoire, Paul Kagamé of Rwanda, Jacob Zuma of South Africa, Ellen Johnson Sirleaf of Liberia, Faure Essozima Gnassingbé of Togo, Issoufou Mahamadou of Niger, Ali Bongo Odimba of Gabon and Goodluck Jonathan of Nigeria.
Ethiopian Prime Minister Zenawi Meles is also in Cotonou for the summit that will review the situation in Sudan and South Sudan, the rebellion in northern Mali, the threat of the Boko Haram Islamist sect of Nigeria, as well as the Libyan issue with the proliferation of heavy and light arms which facilitate destabilisation.
LAGOS(AFP)- Emeka Odumegwu-Ojukwu, chef de la guerre de sécession du Biafra, à la fin des années 60, héraut de la communauté Igbo, est décédé à l'age de 78 ans en Grande-Bretagne, a annoncé samedi la présidence nigériane.
Ancien étudiant d'Oxford, le colonel Ojukwu, avait lancé en mai 1967 une tentative de sécession alors qu'il était gouverneur militaire de région. Il accusait le pouvoir fédéral dominé par les musulmans du nord de marginaliser sa communauté, notamment après l'assassinat en juillet 1966 du seul président d'origine Igbo, le général Thomas Aguiyi-Ironsi.
Le président américain vient d’adresser une lettre annonçant aux législateurs de son pays l’envoi d’une centaine de soldats américains en Afrique centrale pour aider à traquer la LRA (Armée de résistance du seigneur) que commande le rebelle ougandais Joseph Kony.
Ces militaires américains qui comptent avoir un champ d’action couvrant la Centrafrique, RD du Congo, et le Sud-Soudan d’après la correspondance de la Maison Blanche n’assureront que des missions de formation et de renseignement et n’engageront pas dans le combat avec la LRA, sauf en cas de légitime défense.
Rébellion ougandaise créé en 1988 par Joseph Kony, l’Armée de résistance du Seigneur (LRA) avait pour objectif principal le renversement du président ougandais Yoweri Kaguta Museveni.
LE CAIRE- L'image choc de l'ancien président égyptien Hosni Moubarak dans le box des accusés a captivé le monde arabe, où nombreux sont ceux qui saluent son procès comme une "grande leçon" pour "ceux qui s'accrochent à leur siège".
L'image choc de l'ancien président égyptien Hosni Moubarak dans le box des accusés a captivé le monde arabe, où nombreux sont ceux qui saluent son procès comme une "grande leçon" pour "ceux qui s'accrochent à leur siège".
La photo de l'ancien homme fort de l'Egypte, couché sur une civière dans une cage grillagée, a fait le tour du monde et frappé les esprits dans une région où les dirigeants sont d'ordinaire tout-puissants et ne rendent que rarement des comptes.
WASHINGTON — La famine dans la Corne de l'Afrique est due en partie à un "échec collectif à mettre fin à la guerre civile en Somalie", a déclaré lundi le président de la Banque africaine de développement (BAD), Donald Kaberuka.
"Même si le détonateur de cette tragédie a été la pire famine depuis 60 ans, il s'agit aussi de notre échec collectif à mettre fin à la guerre civile en Somalie", a-t-il déclaré dans une interview à l'AFP.
Une grande partie de la Somalie est en proie à la violence et échappe à tout contrôle gouvernemental depuis le coup d'Etat qui a chassé du pouvoir le dictateur Mohammed Siad Barré en 1991.
Le président de la Société Sunair, Deo Mazimpaka, l’un des pionniers de l’exploitation du fret aérien dans la région des Grands Lacs est décédé le vendredi 08 juillet 2011 à l’âge de 48 ans de suite d’un accident d’avion survenu à l’aéroport de Kisangani a appris VirungaNews de source de sa famille.
Marié à Joséphine Rwigema et père d’une famille nombreuse, Deo Mazimpaka était le pilier de tout un clan. Il avait en charge nombreuses veuves, neveux, et nièces qu’il encadrait avec beaucoup d’amour et d’abnégation.
Né à Goma le 27 juillet 1963 de Papa Faustin Ndwaniye et Maman Dorothée Mukankusi, le jeune Déo Mazimpaka a grandi entouré de beaucoup d’amour. Il avait toujours sur lui un sourire qui extériorisait la bonté qui le caractérisait.
Aujourd’hui le Sud-Soudan est devenu la plus jeune nation du monde.Le pays de John Garang accède à sa souveraineté après deux guerres civiles au cours des cinq décennies qui ont coûté la vie à deux millions de personne.
Juba, la capitale du nouveau pays est en liesse. Les sud soudanais chantent, dansent, et célèbrent enfin la rupture avec le Nord.L’indépendance du Sud Soudan marque l'aboutissement heureux du referendum pour son autodétermination au mois de janvier 2011, ceci après l’accord de paix conclu entre le Nord et le Sud Soudan en 2005.
Le principal méfait de l’industrie nucléaire n’est pas celui qu’on croit. Loin devant le danger qui pèse sur les populations résidant à proximité des centrales électro-nucléaires et des industries en amont et en aval du cycle de l’uranium, le sang des populations africaines que les soudards français ont fait couler, et continuent de faire couler, pour s’assurer le contrôle des régions d’Afrique recèlant des mines d’uranium, constitue un tribut que partisans et opposants des applications dites pacifiques de l’énergie nucléaire feignent tous d’ignorer.
Qui connaît les circonstances dans lesquelles la France est entrée en possession du Niger où se trouvent les principales mines d’uranium d’Areva ? Qui se souvient de cette mission Afrique centrale, cette colonne infernale des capitaines Voulet et Chanoine, qui mit à feu et à sang le pays Mossi (Burkina Faso actuel), le Soudan (Mali actuel), le Niger et le Tchad en 1898-1899 ? Qui se souvient de ces 20 femmes tuées à coup de lance avec leurs nourrissons ce 9 janvier 1899 à Sansané-Haoussa, au bord du fleuve Niger, sur l’ordre du capitaine Voulet ? [1] Qui se souvient que plus d’un millier d’habitants de Birni N’konni, bourg de l’actuel Niger, furent passés par les armes le 2 mai 1899 ? [2] C’est grâce à ces massacres que la France garde le contrôle de cette région encore à l’heure actuelle. Et réciproquement, c’est ce malheureux pays, le Niger, qui est garant de l’indépendance énergétique de la France, comme le Gabon et le Congo Brazza le sont pour le pétrole.[3]
UGANDA’S MAIN opposition leader Kizza Besigye was yesterday charged with engaging in riotous behaviour and inciting violence, hours after he was arrested for attempting to take part in a third round of protests against rising fuel and food prices.
Mr Besigye, who came second to President Yoweri Museveni in February’s presidential election, was arrested after leaving his home in northern Kampala. Seventeen other opposition leaders, including two other presidential challengers, were detained in other parts of the city.