African writer, refugee who faced genocide will soon receive diploma
As he stood in an underground dungeon filled with stagnant water, the tall, thin, French-speaking captive wondered if he would ever again see daylight.
It was 1998, and El Memeyi Murangwa was being tortured for writing a newspaper article about the genocide of the Tutsi people spilling from Rwanda into the Congo, his native country. His article asked those in power to halt the massacre of innocent people.
Antoinette Kankindi
25/04/13
Les révisionnistes à la solde de George Soros se préparent à discuter ce qu'il faut attendre des opérations de la brigade onusienne appelée à combattre Makenga: http://nanojv.wordpress.com/2013/04/24/pep-unib/. Sur terrain, la nouvelle de l'interruption (cette fois-ci définitive???) des négociations à Kampala se propage très vite. La délégation du M23 est peut-être en route vers la RDC. Kin s'est endurcie comme nous nous y attendions. Le salut de Kabila vient par l'ONU, pourquoi devrait-il négocier? N'est-ce pas que sa SADC lui a fourni d'autres alternatives depuis belle lurette? Les choses sont donc en place pour une guerre qui sera régionale. Pourtant elle aurait pu être évitée. Je ne veux pas me répéter mais je ne peux non plus m'empêcher de rappeler que Nkunda avait raison et que la région devrait avoir prêté attention à ce qu'il disait parce que le temps lui a donné plus que raison. Je disais que les choses sont en place.
Ange Michel Murangwa
23/04/13
L’occupation de Goma aura failli ne plus se conjuguer uniquement au passé. On aura un moment pensé que sa réédition constituait la seule garantie pour Makenga et la cause des Rwandophones du Kivu. Makenga n’est fort heureusement pas tombé et ne risque pas de tomber dans ce piège. Cependant la tentation était et est toujours aussi forte. Par les contradictions manifestes de son plan hybride de guerre et de paix, les positions de l’ONU invitent clairement le M23 à faire un pas vers l’inconnu.
Le déploiement de la force spéciale des Nations-Unies ne semble en réalité rassurer personne. Les intellectuels congolais cachent de moins en moins leur inquiétude face à la Résolution 2098 dont ils saisissent si peu le contour. L’intervention d’une nouvelle force étrangère au Congo pourrait surtout entériner et conforter la dictature du Président Kabila. Les jubilations puériles de ses ministres rajoutent à la confusion.
Luigi Elongui
18/04/13
Le schéma adopté le 28 mars dernier par l’organe suprême des Nations Unies porte le risque sérieux de l’embrasement de la sous-région des Grands Lacs.
En optant pour la gestion militaire de la crise dans l’Est de la République démocratique du Congo, les grandes puissances qui sont derrière le Conseil de Sécurité éloignent en réalité son règlement et feignent ignorer ses causes profondes.
El Memeyi Murangwa
17/04/13
En décidant de recourir à la force pour ramener la paix au Congo, l’ONU vient de s’écarter de sa mission première qui est celle de régler les conflits à l’échelle planétaire en toute neutralité. En effet au Chapitre premier de la Charte créant les Nations Unies, le Point 1 stipule ceci : « Maintenir la paix et la sécurité internationales et à cette fin : prendre des mesures collectives efficaces en vue de prévenir et d'écarter les menaces à la paix et de réprimer tout acte d'agression ou autre rupture de la paix, et réaliser, par des moyens pacifiques, conformément aux principes de la justice et du droit international, l'ajustement ou le règlement de différends ou de situations, de caractère international, susceptibles de mener à une rupture de la paix.»
La résolution 2098 du Conseil de Sécurité donnant libre cours à un déploiement rapide et irréfléchi d’une Brigade d’intervention sous la bannière de la MONUSCO pour combattre le M23 ne cadre pas avec les principes de L’ONU et mettra la paix, et la sécurité de l’Afrique des Grands Lacs en danger.
Xinhua
09/04/13
KAMPALA — Les pourparlers visant à mettre fin aux combats dans l'est de la République démocratique du Congo (RDC) entre les troupes gouvernementales et les rebelles du M23 ont repris lundi dans la capitale ougandaise de Kampala après une longue pause.
La délégation du gouvernement et la délégation du groupe rebelle du M23 se sont rencontrés à Munyonyo Commonwealth Speke Resort sur les rives du lac Victoria.
Les pourparlers organisés sous la médiation ougandaise ont repris après que le Conseil de sécurité de l'ONU a autorisé le 28 mars le déploiement d'une brigade d'intervention au sein de l'opération de maintien de la paix des Nations unies en RDC pour répondre aux menaces imminentes pour la paix et la sécurité.
« Par sa résolution 2098, le Conseil de Sécurité a décidé de rompre avec les objectifs des pères fondateurs des Nations Unies en donnant pour la première fois un mandat de tuer aux soldats de la paix. »