Reuters
20/02/2007
KIGALI (Reuters) – Les autorités rwandaises ont relâché lundi 8.000 détenus accusés d'implication dans le génocide de 1994, au cours duquel 800.000 tutsis et hutus modérés ont été tués par des extrémistes hutus.
Reuters
20/02/2007
KIGALI (Reuters) – Les autorités rwandaises ont relâché lundi 8.000 détenus accusés d'implication dans le génocide de 1994, au cours duquel 800.000 tutsis et hutus modérés ont été tués par des extrémistes hutus.
BBC Afrique
20/02/2007
Les autorités rwandaises ont entamé une nouvelle vague de libération de prisonniers. Elle doit concerner au moins 8.500 personnes, en majorité impliquées dans le génocide de 1994.
L'opération à commencer le lundi 19 février. Elle devra durer quelques jours.
L'Express
20/02/2007
Une délégation du Front national de libération (FNL, rébellion) en provenance de la Tanzanie, a débuté lundi à Bujumbura des pourparlers avec des représentants du gouvernement burundais destinés à vider les questions encore pendantes dans l'accord de cessez-le-feu liant les deux parties depuis le 7 septembre dernier.
La délégation du FNL, composée d'une vingtaine de personnes, est arrivée dimanche soir à Bujumbura en compagnie du médiateur en chef dans le conflit burundais, le ministre sud-africain de la Sécurité et de l'Ordre, Charles Nqakula.
Les négociateurs doivent définir, entre autre, les sites de cantonnement des combattants rebelles et les modalités pratiques de leur désarmement, démobilisation et réinsertion dans une nouvelle vie socioprofessionnelle.
Un délégué du FNL a particulièrement insisté sur le ferme engagement de toutes les parties à appliquer tout le contenu de l'accord de cessez-le-feu pour mieux réussir le pari d'une paix globale et durable. (pana)
© Copyright L'Express
APA
20/02/2007
APA – Kinshasa (RD Congo) Des militaires angolais auraient traversé et occupé une partie du territoire de la République démocratique du Congo (RDC), dans la localité de Kahemba, dans la province du Bandundu,(Ouest de la RDC), frontalière avec l’Angola, a indiqué la première chaîne de la radiotélévision congolaise (RTNC1, publique) dans son journal du lundi soir.
Interrogé sur la question, le ministre congolais de l’intérieur, le général Dénis Kalume Numbi, a dit avoir déjà tenu une réunion sur le sujet et promis de descendre sur le terrain pour s’enquérir de la situation, afin que le problème soit réglé dans la fraternité.
Kivupeace
20/02/07
Des violents combats sont signalés depuis le début de la semaine à NYAKAKOMA, localité du territoire de RUTSHURU située à quelques mètres de la frontière Congolo-Ougandaise.
Plusieurs sources concordantes affirment que ces hostilités opposent les troupes de la brigade appelée « bravo » et des unités Mai-Mai fidèles au colonel Jackson réfractaire au brassage depuis des années.
Ces combats dont on ignore encore le bilan, a causé des déplacements massifs de la population suite aux actes de vandalisme posés par les éléments mai-mai fuyards.
El Memeyi Murangwa
20/02/07
Présenter un programme à l’assemblée nationale est un acte louable, sa divulgation auprès du souverain primaire est plus que nécessaire. Le peuple donnant mandat à ses élus de suivre la bonne marche des affaires de l’état, a besoin d’être informer sur le document qui vient d’être remis au président du conseil législatif. La population fonde son espoir dans la mise en place d’une transparence pourtant nécessaire en démocratie. Habituer en effet à des secrets de polichinelle, l’administré congolais assiste impuissant à la mauvaise gestion, ne sachant pas ce qu’il doit espérer des personnes commises à la gestion de la chose publique.
la solution n’est pas dans l’article 51 de la loi sur la nationalité, mais dans l’article 110 de la Constitution
Professeur Auguste Mampuya Kanuk’a-Tshiabo
18/02/07
L'indignation exprimée par l'opinion publique, à travers notamment une bonne partie de la presse, au sujet de la manière dont l'Assemblée nationale a, le 12 février 2007, géré et " réglé " la situation provoquée par la " motion Makila ", est à la mesure du scandale qui, au-delà de la violation manifeste, délibérée et concertée de la constitution et de la loi sur la nationalité, consomme le complot que j'ai toujours dénoncé contre la nation congolaise et de son Etat, de la part de la classe des princes qui nous gouvernent. Je voudrais démontrer d'une autre manière, imparable, cette violation de la constitution, afin d'en établir le caractère incontestable et d'en situer l'ampleur.
Je pense, par ailleurs, qu'il convient de revenir très rapidement, au regard du droit, sur la genèse de la crise, avec l'initiative prise par un certain apprenti sorcier en relation avec la situation de deux candidats aux gouvernorats du Kasaï occidental et du Kasaï oriental. De fait, cette question, aussi, dénote les pratiques arrogantes et cyniques de nos dirigeants " élus du peuple ". Je tiens cependant à préciser que ma réaction n'a rien à voir avec mes positions sur la question de principe de la " double nationalité ", que je considère comme mal réglée par notre législation dans une conception rétrograde, dépassée et négative ; mais ici, il s'agit de se prononcer sur l'état exact de la loi congolaise et de son application dans un cas précis, ce dernier ne pourrait servir pour contourner cette législation ou, encore moins, de la réformer sans le dire.
La Libre
16/02/2007
La demande, déposée en 2004 seulement, a été rejetée. L'instance de jugement a mis en cause le rôle de la veuve dans le déclenchement du génocide de 1994.
La Commission de recours des réfugiés (CRR) a rejeté jeudi à Paris la demande d'asile déposée en 2004 par Agathe Kanziga, veuve de l'ancien président rwandais Juvénal Habyarimana. L'attentat contre l'avion de ce dernier, le 6 avril 1994, donna le coup d'envoi au génocide préparé depuis plusieurs mois par les extrémistes hutus de son régime.
L'Office français de protection des réfugiés et apatrides avait déjà rejeté cette demande le 4 janvier dernier en première instance. Les avocats de Mme Habyarimana ont indiqué qu'ils allaient former un recours devant le Conseil d'Etat.
L'Express
16/02/2007
Le Burundi pourrait engager jusqu'à deux Bataillons de 1.700 hommes dans le cadre de la force africaine de maintien de la paix en Somalie, a indiqué vendredi le ministre burundais de la Défense nationale, le lieutenant-général Germain Niyoyankana.
Quelque 100 autres observateurs militaires se tiennent également prêts à intervenir en Somalie sur demande de l'Union africaine (UA), a ajouté le ministre burundais de la Défense nationale, au cours d'une conférence de presse.
Burundi Réalités
16/02/2007
La reine Baramparaye est morte dimanche le 11 février 2007 à l'âge de 80 ans. Elle était née en 1927. Marié au roi Mwambutsa IV Bangiricenge en 1945, la reine Baramparaye n'avait que 18 ans.
Et pour rappel le Roi Mwambutsa IV Bangiricenge avait été aux destinés du Burundi depuis 1915 jusqu'en 1966. Sa dépouille mortelle sera inhumée à Gitega en date du 20 février 2007 précise nos sources d'informations.
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