Des Organisations Non Gouvernementales s’inscrivent en faux contre les nouvelles alarmantes sur la situation humanitaire dans les territoires de Rutshuru et de Masisi.
Kivupeace
03/06/07
Au cours d’une conférence de presse tenue ce samedi 02 juin 2007 dans les installations du Parlement d’ Enfants du Nord-Kivu par Me MUITI MUHINDO, trois organisations non gouvernementales oeuvrant dans le secteur de la paix et du développement au Nord-Kivu qualifient d’affabulations les nouvelles alarmantes sur une prétendue catastrophe humanitaire qu’auraient causé les Brigades Mixées dans les territoires de Rutshuru et de Masisi.
une candidate qui vous défend et qui agit avant, pendant et après les élections pour notre bien-être !
3ème à la chambre en Belgique Province de Liège Chrétiens Démocrates Fédéraux
CDF Le seul parti chrétien en Belgique francophone
Liste 20: Chrétiens Démocrates Fédéraux CDF Dunia SENDWE, Vice-Présidente des Jeunes CDF 3ème sur la liste CDF à la Chambre Élections Législatives du 10 juin 2007 Province de Liège
Une chrétienne qui est à votre service. Je suis la fille du Pasteur SENDWE de la Nouvelle Jérusalem de Wavre et de Marie-Claire NGALULA, fondatrice de la section Benelux de l'UDPS. Je suis La petite-Fille de 2 grandes figures de la politique congolaise: – Jason SENDWE – Joseph NGALULA MPANDANJILA.
Des malfaiteurs non encore identifiés ont démoli dans la nuit du 29 mai 2007 le monument historique du prince Louis Rwagasore érigé au centre ville de Gitega, une ville située au centre du Burundi.
Le prince Louis Rwagasore est le père de l’indépendance du Burundi, acquise le 1er Juillet 1962. Il avait été assassiné avant cette indépendance le 13 Octobre 1961.
Il a été proclamé plus tard héros national.
La population de Gitega et spécialement ceux qui ont connu le prince Rwagasore se disent choqués de ce scandale. Ce monument était entretenu par des femmes du quartier de Nyamugari de la ville de Gitega.
L’abolition de la peine de mort au Rwanda pour tous les crimes, y compris ceux de génocide, devrait être effective à la fin du mois de juillet, a-t-on appris jeudi de source officielle.
"Le projet de loi sera examiné par la plénière de la chambre des députés le 6 ou le 7 juin. La loi aura été promulguée et publiée au journal officiel vers la fin du mois de juillet", a annoncé à l’AFP le ministre rwandais de la Justice Tharcisse Karugarama.
"Le texte avait été confié à une commission parlementaire après que les députés eurent adopté l’opportunité de la loi (en mars). La commission a déjà fini son travail", a-t-il ajouté.
Ce projet de loi, présenté par le parti au pouvoir, le Front patriotique rwandais (FPR), avait été adopté par le conseil des ministres en janvier.
Lors de sa visite au Rwanda la semaine dernière, le Haut Commissaire aux droits de l’homme de l’ONU, Louise Arbour, avait salué cette initiative.
"L’abolition de la peine de mort au Rwanda, un pays qui se relève encore de son passé tragique, sera un signal puissant de la nécessité de poursuivre la justice tout en rejetant la violence sous toutes ses formes", avait-elle dit.
Représentant spécial du Secrétaire General de l’ONU et Chef de la Mission des Nations Unies au Congo – MONUC
ÀKinshasa/Gombe.
R.D.C
Objet : Redéfinition du rôle de la MONUC au KIVU.
Monsieur le Chef de Mission,
En ce temps de deuil imposé au peuple congolais par une paix fragile, permettez-moi d’interpeller votre auguste personne sur une situation désastreuse entretenue sur l’ensemble du Nord et Sud Kivu.Comme vous le savez bien, parce que relayée par vos organes de presse, chaque matin les habitants de ces deux provinces comptent leurs morts sans qu’aucune solution pour mettre fin à ce génocide ne soit envisagée par la mission que vous dirigez. Etonnant aussi, la couverture médiatique couteuse sur les grandes chaines de télévisions, servant à diaboliser le Général Laurent Nkunda Mihigo, et les brigades mixés FARDC, pourtant seuls ayant démontré une réelle capacité d’affronter les forces négatives dans les deux Kivus. Nul doute que ces différents reportages ont pour objets de cacher les imperfections et le chômage déguisé de 17.000 casques bleus qui n’arrivent pas à maintenir la paix au Congo.
Les assaillants seraient des combattants FDLR, selon le commandant de la brigade mixée Bravo. Ils ont mené leur attaque samedi vers 1h du matin, heure locale, contre la station scientifique du parc, du côté de la localité de Lulimbi. Deux gardes parc ont été enlevés avant d’être relâchés le même samedi, rapporte radiookapi.net
17 victimes à Kaniola, une femme enceinte éventrée, une enfant de 10 mois violée, autant de crimes qui ont poussé la députée Vicky Katumwa du Parti du Peuple pour la Reconstruction et la Démocratie (PPRD) a présenter à la plénière de samedi une motion incidentielle interpellant le gouvernement, rapporte radiookapi.net
Sept personnes ont été enlevées et une autre grièvement blessée dans la nuit de mercredi à jeudi au Sud-Kivu, dans l'est de la République démocratique du Congo (RDC), lors d'une attaque attribuée à des rebelles hutus rwandais, a-t-on appris des autorités locales.
"Huit personnes habillées en uniforme (militaire) et une neuvième en tenue civile ont attaqué le village de Cibaho, dans la chefferie de Kabare. Ils ont enlevé sept personnes dont six femmes", a déclaré à l'AFP l'administrateur de Kabare, Jean-Marie Limange.
Au cours de l'attaque, une femme a été "grièvement blessée" à coups de couteau, a-t-il ajouté.
Le village de Cibaho est situé à une vingtaine de kilomètres au nord de Bukavu, chef-lieu du Sud-Kivu.
Les habitants ont attribué cette attaque à des rebelles hutus rwandais des Forces démocratiques pour la libération du Rwanda (FDLR), expliquant que les assaillants parlaient kinyarwanda (langue parlée au Rwanda), a précisé l'administrateur.
Cette attaque survient moins d'une semaine après le massacre de 18 civils, tués à l'arme blanche, à Kanyola, à une quarantaine de kilomètres de Cibaho. Cette tuerie a également été attribuée par les villageois à des FDLR.
L'archevêque de Bukavu (est) a mis en garde contre les risques d'une "nouvelle guerre" dans l'est de la République démocratique du Congo (RDC) et s'indigne du "silence" des autorités après un récent massacre de civils, dans un message dont l'AFP a reçu jeudi une copie.
"Les éléments sont apparemment réunis pour une nouvelle guerre au Sud-Kivu", affirme Mgr François-Xavier Maroy dans une lettre remise en début de semaine à l'ambassadeur de France en RDC, Bernard Prévost, en déplacement à Bukavu (capitale du Sud-Kivu).
L'archevêque explique vouloir "prendre à témoin" la communauté internationale dans un courrier au ton alarmiste et agressif.
Il dénonce notamment "un mouvement d'infiltration massif en provenance du Rwanda" voisin, l'inefficacité de l'armée congolaise et s'interroge sur les motivations d'officiers issus d'une ex-rébellion soutenue par le Rwanda pendant la dernière guerre sur le sol congolais (1998-2003).
Il affirme que les "banyamulenge (tutsis congolais du Sud-Kivu) sont instrumentalisés pour provoquer la guerre" et que certains quittent déjà les hauts plateaux du Sud-Kivu pour trouver refuge dans les pays voisins (Rwanda et Burundi).
Contactés par l'AFP, plusieurs officiers congolais du Sud-Kivu ont démenti tout mouvement "massif" d'infiltration, tout en reconnaissant la porosité de la frontière.
"Les rumeurs d'infiltration ne datent pas d'aujourd'hui. On veut fait croire à la population que l'armée ne fait absolument rien. (…) Le problème du Kivu est réel, l'insécurité a atteint des proportions inquiétantes, mais ce genre de message (celui de Mgr Maroy) renforce la haine", a indiqué un officier basé près d'un poste-frontière.
C’est la très célèbre spécialiste de l’Afrique Centrale, Colette Braeckman, qui dans l’un de ses non moins célèbres carnets, a essayé de ramener l’attention sur quelques «questions non résolues que continue à poser le génocide rwandais ». Elle y reconnaissait que le monde a eu, à ce sujet, des réponses de toute sorte d’experts, psychologues, anthropologues, historiens, criminologues et autres, mais qu’il manquait cependant l’apport des spécialistes de l’art militaire et les analystes de la guerre psychologique, pour utiliser ses propres mots. Elle dit que cette déficience est désormais comblée grâce à un livre apparemment publié par le professeur Gabriel Péries, spécialiste des doctrines militaires contre insurrectionnelles et le journaliste David Servenay, reporter à Radio France Internationale. Voilà ce qu’elle nous en dit : « Essayant de remonter aux sources du génocide rwandais, ils ont croisé l’idéologie des années 60, celle de la guerre froide, des luttes anti- subversives menées en Indochine, en Algérie puis dans toutes les colonies françaises contre les mouvements politiques qui réclamaient l’ indépendance.