La police rwandaise a arrêté, vendredi, à Kigali, l’avocat américain Peter Erlinder, membre de l’équipe de défense de l’opposante Victoire Ingabire Umuhoza. Erlinder est accusé d’avoir nié la réalité du génocide de 1994.
La loi rwandaise est très stricte concernant le négationnisme du génocide. Des groupes de défense des droits humains accusent le gouvernement de Kigali d’utiliser cette législation pour museler l’opposition à l’approche de la présidentielle d’août 2010.
La création d’un nouveau regroupement dénommé « Centre libéral patriotique » au sein de l’alliance de la majorité présidentielle (AMP), distraction destinée à endormir le souverain primaire, constitue aussi une tentative de mise à l’écart des ressortissants de la province de l’Equateur qualifiés de Mobutistes par les faucons du régime de Joseph Kabila (gouvernement parallèle).
Le nouveau Cartel composé des moins nantis qui cherchent désespérément une meilleure place au tour de la mangeoire nationale, ont commencé par des critiques acerbes contre l’action du gouvernement Muzito en chômage déguisé, dès le premier jour de son investiture. Si Joseph Kabila a eu du respect pour le Patriarche Antoine Gizenga, en lui laissant l’autonomie de gestion, le successeur de ce dernier s’est vu ravir aussitôt l’ordonnancement des dépenses publiques, ne conservant que la paie des fonctionnaires et des militaires, paie qui du reste arrive aux destinataires au compte goutte.
Ce système maffieux est à la base de l’insécurité grandissante provoquée par ceux qui au départ sont censés protéger les personnes et leurs biens.
Le forum inter- génocidaire de Bruxelles vient à peine d’éteindre ses lampions que nous apprenons l’arrestation en France du Médecin Rwandais Rwamucyo Eugene qui venait de défendre brillamment sa théorie sur le suicide collectif d’un million de tutsi en 1994.
Il a été cueilli par la police dans le cimetière de la ville de ou il était venu s’incliner sur la tombe de son ami, Jean Bosco Barayagwiza qui s’est éteint dans les geôles du Benin ou il servait une peine de 30 ans pour instigation et participation au génocide.
L’arrestation du Médecin Rwandais jette une profonde consternation dans le camp des auteurs autoproclamés « intellectuels Hutus » qui tentent d’imposer au monde une très curieuse théorie d’un droit légal a l’impunité.
Il ya quelque semaines VirungaNews faisait échos d’une florissante littérature génocidaire en France, et des belles pages du Docteur Eugene Rwamucyo, du père Wenceslas Munyeshyaka, de Gaspard Musabyimana, et de tous les génocidaires impénitents qui se couvrent derrières les élucubrations des quelques occidentaux en mal de publicité.
Le médecin rwandais Eugène Rwamucyo, visé par un mandat d'arrêt international émis par le Rwanda pour son implication présumée dans le génocide des Tutsis en 1994, a été placé jeudi sous écrou extraditionnel, selon une source judiciaire.
Eugène Rwamucyo a été arrêté mercredi alors qu’il assistait aux obsèques d’un de ses amisJ.B.Barayagwiza dans un cimetière à Sannois (Val-d’Oise) et présenté dans l'après-midi devant le procureur général de Versailles qui lui a notifié son incarcération dans l'attente de sa comparution devant la chambre de l'instruction.
A défaut d’incarner l’espoir de la réconciliation dans la version « impunité » que ses maitres génocidaires tentaient de faire passer, Umuhoza risque à présent d’incarner un amalgame qui touche de trop près la Personne du Roi Kigeri V.
Les véritables chefs du FDU-Inkingi, les Prêtres Génocidaires en cavales, seraient entrain de revoir leurs ambitions à la baisse. Le Roi Kigeri reviendrait bientôt au Rwanda en Roi Constitutionnel avec Ingabire Umuhoza comme Premier Ministre de sa Majesté. Belle perspective !
Bye, Bye donc Kagamé car le poste Présidentiel n’existerait plus à partir des élections à venir. Les discours du Roi Kigeri et la photo royale trône côte à côte avec la photo d’une très sage dame Ingabire.
Pour le roi, le Génocide n’aurait été que le fruit d’une inversion des valeurs et de culture. Si le Père de la Nation était autorisé à rentrer, il préconiserait le mariage entre les deux ethnies afin que les Rwandais puissent redevenir un seul peuple. “The genocide is a result of a loss of respect and culture,” he said. “The young people do not respect or listen to their elders – If I am allowed to return, I will encourage intermarriage among the groups so that we can become one people again”.
Les révoltes « ethniques » continuent à fragiliser une démocratie qui n’est visible que dans l’appellation du pays. La casse Yaka du mercredi 19 mai 2010 au Palais du Peuple, siège du parlement congolais alimente les ragots de tout genre. Chaque cartel politique aurait bien voulu avoir ses militants sur place pour bien croiser les biceps avec les Yaka venus de l’Est de la capitale pour préserver le fauteuil d’un fils du Mayumbu, Adolphe Muzito, visé par une motion de censure.
La première réaction du président de la chambre basse, Evariste Boshab, se passe de tout commentaire : « Chers collègues, comme vous le savez, je suis Secrétaire général d’un Parti. Si j’avais fait venir les miens, on aurait assisté à une hécatombe. »
La motion de censure contre le Premier ministre Adolphe Muzito qui devait être examinée 48 heures après son dépôt sur le Bureau de l’Assemblée nationale conformément à l’article 146, Alinéa 3 de la constitution appartient désormais au passé.
Celle-ci vient d’être retirée parle très controversé secrétaire général du mouvement de libération du Congo (MLC), François Muamba, au prétexte que les conditions ne sont pas réunies pour l’examiner !
Depuis 24 heures, un digne Notable de la RD du Congo venait de confier à VirungaNews que l’Alliance de la majorité présidentielle (AMP) venait de proposer en échange du retrait, une mallette bien garnie en billet verts (US $), dont une bonne partie était destinée à l’initiateur de la motion, Jean-Lucien Busa, le reste revenant aux « honorables » François Muamba, et Fidèle Babala.
Comme à la veille de la déchéance (Ferme présidentielle de Kingakati) de Vital Kamerhe du haut du perchoir du Parlementcongolais, la corruption au pays de la tolérance zéro vient d’avoir raison sur les aspirations profondes du peuple.
En formulant une motion de censure contre le gouvernement Muzito, les trois présidents des groupes parlementaires viennent de faire preuve d’un courage politique inhabituel dans un environnement politique congolais, unique en son genre.
Contrastant avec nombreux élus qui souvent défendent leurs émoluments et autres perdiems, les Honorables députés de l’Opposition sonnent l’alerte en donnant un carton rouge au Premier ministre Muzito, le même carton rouge est aussi destiné au gouvernement parallèle qu’anime Joseph Kabila.
La motion de censure signée par Gilbert Kiakwama (CD), Eméry Okundji Ndjoku par ordre de Roger Lumbala (ODR) et par François Muamba (MLC) constate la violation de la constitution par la démission de fait du gouvernement Muzito, gouvernement qui se trouve dès son installation en chômage déguisé, et mué en simple caisse de résonnance d’un gouvernement parallèle, qui en structure informelle gère le quotidien de la RD du Congo, sous l’emprise du Raϊs Joseph Kabila.
Il y a quelques jours le communicateur congolais, Lambert Mende clamé haut et fort à propos d’Udjani : « Il a été capturé par la population de Dongo et se trouve entre les mains de la police de la RD du Congo ».
Mensonge grossier répondait un Belgicain dans un salon de coiffure à Bruxelles. Le ministre porte-parole est devenu la risée de la Diaspora Congolaise qui l’invite à rendre son tablier pour incompétence et désinformation caractérisée.
L’état de santé du général Laurent NKUNDA inquiète sa famille.
La famille du Général Laurent NKUNDA craint que le dispositif sécuritaire récemment renforcé autour du général par les autorités rwandaises n’influe sur son état de santé déjà fragile.
En effet, depuis plus de deux semaines le Rwanda a renforcé la garde au lieu de détention du Général Laurent NKUNDA empêchant ainsi toute visite aussi bien de sa famille que de son médecin. Il est dès lors àcraindre que son état de santé en soit gravement affecté. Continue reading →