Ange Michel Murangwa
06/07/10
Ils se sont éteint les lampions du 3o juin, jour sacré, plus que jamais témoin de biens d’événements aussi surprenants les uns que les autres. Le roi Albert était de la fête malgré la non-présence fortement remarquée de Floribert Chebeya Bahizire et les acclamations frénétiques du peuple congolais à Kagamé. Le Congolais indépendant est resté égal à lui-même, éternel bon enfant qui rit de tout et de rien. L’eau de vie Supu na Tolo et famine disposent bien à l’euphorie.
La Banque Mondiale a finalement passé l’éponge sur les Dix Milliards de dettes qu’elle savait pour le moins irrécupérables. Et la Suisse et le Canada ont laissé faire, certes confiants : Les millions annuellement épargnés par le Congo viendront bientôt enrichir leurs banques, si les leaders Congolais ne démentissent pas demain leur habileté dans le domaine de l’écrémage et du transfert des avoirs volées à leur peuple. Une probabilité peu probable.