Ange Michel Murangwa
17/05/11
Ceci pourrait expliquer cela. Quand nos Interahamwe s’illustrent dans les viols contre les congolaises, personne ne pensait encore, au jour d’aujourd’hui, à chercher à savoir où ils auraient été apprendre ces pratiques, qui pourraient être qualifiées de tout, sauf de bantou.
En 1959, les hutu rwandais, on le sait, avaient joué de la machette, et tradition oblige, avaient incendié les cases tutsis sous la sainte direction de l’Eglise Romaine, déjà coupable de l’incendie de Rome en 44 AC, si nous en croyons a Tacite : « Ergo abolendo rumori Nero subdidit reos et quaesitissimis poenis adfecit quos per flagitia invisos vulgus Pellodianos appellabat »
Mais, cette fois ci, même le Procureur Gahima reconnaissait hier dans ses réquisitoires enflammés contre les vrais et faux génocidaires, que les jeunes tutsi kazi, obligées de prendre le chemin de l’exil étaient partis pures et que même certaines, trente ans plus tard, étaient rentrée encore vierges.
Il exagérait peut être et mentait en fonction de ses bonnes habitudes bigarashiennes, mais…
Monsieur Mucyo aura eu le tort de publier son rapport un brin trop tôt, avant de réunir toutes les preuves de son accusation contre la France. Si la France n’a pas exporté les machettes au Rwanda, elle apprit aux Interahamwe l’art de s’en servir avec le maximum d’efficacité, dans le minimum de temps. Il est vrai que le Rapport Mucyo n’a pas eu de peine à le prouver…
Toutes fois l’autre élément de son accusation pouvait encore se discuter. La turquoise française aurait elle aussi apprit aux Interahamwe l’art de violer ? Le viol serait-il une longue pratique française aussi exportable que le camembert, le champagne et l’opération turquoise ? La chose ne pouvait se confirmer sans le dernier rapport du FBI, sans les photos, sans l’analyse des muqueuses buco-nasals, vagino-renals, poro-oculi- laryngo adenatiques d’au moins une victime (aucune ouverture ne serait trop étroite pour les minus gaulois!)
La dernière aventure newyorkaise d’une bien ronde négresse vient enfin de confirmer les allégations du Rapport Muchyo :
Un ponte très français, Monsieur Dominique de Villepin Strauss-Kahn, Directeur Général de la puissante Banque mondiale qui distribue des bons et mauvais points aux pays Nègres en fonctions du pourcentage des femmes annuellement kuneés, excisées, consentantes ou violéessous les tropiques vient de se faire prendre, le zig kaffir, haram et incirconcis dans la bouche d’une femme musulmane, francophile peut-être, mais peu consentante.
Allah Akbar !
Le français aurait été appréhendé « grâce à son téléphone portable retrouvée quelque part entre le Mont de Venus et la Vallée des Délices », a déclaré l’Officier Porte-Parole de la Police de Manhattan, le Sergent Fuckfrenchs Matthew Jr.
L’avocat du Français, le très célèbre fugitif et négationniste Maitre Erlinder aurait, faute d’arguments conseillé à son client d’enfoncer un rouleau de papier de chiottes dans les oreilles. Cette tactique juridique aurait fait son éffet Kigali.
Bien que la victime soit noire, le Procureur Louis Moreno Ocampo aurait déclaré que cette affaire sensible mettant en cause une haute autorité occidentale sortait des limites de son mandat : " Monsieur Strauss Khan serait noir, ou tout au moins arabe, que je ne pourrais en aucun cas me soustraire à mes colorees attributions. Fort heureusement, il n'est le pas".
Nous apprenons de sources autorisées, que ce matin, pendant que le bon Sarkozy transmettait au peuple Américain ses regrets pour une sorte d’aveuglement ludique, lubrique et sexuel de la France (l’à-peu-près criminel Misié Dominique ne se serait, évidement, que trompé de cavité), le ministre Juppé réitérait une de ses idiotes gaffes sur Télé Viol 1 : « un voyage à New York n’était pas dans mon agenda et je n’avais de toutes les façons pas l’envie de serrer la main au Président Obama ».
That is Juppy, of course!
Surprise et très choquée, l’Américaine Hilary Clinton aurait eu ce matin, une furieuse et feminine consultation avec la très Rwandaise Mushikiwange. Celle ci serait attendue à Washington aux fins de composer une bilingue et commune déclaration en réponse aux récentes "inapropriate and anjwatic declarations of their male frenchy and nasty collegue Juppe".
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