El Memeyi Murangwa
2/08/13
Annoncé avec fracas et relayé par une certaine presse qui défend les intérêts des prédateurs et non du peuple congolais, l’ultimatum de la MONUSCO n’a ressemblé qu’à une grosse fumée blanche sortie de la cheminée de son quartier général. Celle-ci s’achève sans ramassage d’armes et comme par hasard les FDLR (forces génocidaires) devenues supplétives des FARDC (armée gouvernementale) et collaborateurs de la force onusienne sont visibles dans la ville de Goma, aidant à traquer les Rwandophones et potentiels sympathisants du M23.
L’ultimatum de la MONUSCO aura servi à couvrir une persécution contre une partie de la population et celle-ci s’est étendu sur la zone humanitaire sure. De quoi donner raison à un éminent chef d’état de la région qui réagissant a cette suspecte opération a suggéré le désarmement et le rapatriement de la MONUSCO comme solution à l crise congolaise.