Yearly Archives: 2007

L’ONU offre de l’argent aux réfugiés burundais pour les inciter à regagner leur pays.

Xinhuanet

06/07/2007

 

unhcr.jpgLes réfugiés burundais dans le nord-ouest de la Tanzanie, se voient accorder une somme d'argent par le Haut Commissariat des Nations unies pour les réfugiés (HCR), une mesure visant à les encourager à retourner dans leur pays d'origine.

Ce projet a été conjointement initié par le HCR et les gouvernements tanzanien et burundais, révèle un communiqué du HCR diffusé jeudi.

Conformément à ce programme, une prime allant jusqu'à 50.000 francs burundais (46 dollars) sera versée à chaque réfugié des quatre camps d'accueil répartis dans le nord-ouest de Tanzanie, s'il rentre dans son pays, indique le document.

Cette prime s'ajoute aux approvisionnements actuellement mis à la disposition des réfugiés à leur arrivée au Burundi, à savoir des produits ménagers et des denrées alimentaires pour quatre mois, selon la même source.

Ce programme, qui entrera en vigueur à partir du 10 juillet, s'appuie sur le principe selon lequel les premiers arrivés seront les premiers servis.

A présent, 153.000 réfugiés burundais résident dans le nord- ouest de Tanzanie.

Depuis le programme lancé en 2002 par le HCR pour faciliter le retour des Burundais, environ 300.000 réfugiés ont regagné leur pays.

Le HCR souhaite le retour de 60.000 réfugiés burundais cette année.

 

Xinhuanet

Pour une diaspora d’espérance

Les expatriés congolais et le développement de notre pays

Kä Mana

07/07/07

 

ka_mana.jpgSur ce que représente aujourd'hui la diaspora congolaise dans sa capacité d'action et dans ses possibilités réelles de transformer notre pays en profondeur, deux visions se chevauchent et s'enchevêtrent. Elles se modulent publiquement et se mélangent sans qu'il soit possible de dire laquelle rend vraiment compte de ce que nos compatriotes expatriés sont fondamentalement dans leur être ou de ce qu'ils peuvent exactement faire dans la situation actuelle que nous vivons.

Une vision désespérante

La vision la plus répandue est la vision pessimiste et désespérante. Elle caractérise un certain discours des chercheurs, penseurs, universitaires ou hommes politiques étrangers qui observent nos compatriotes expatriés et analysent leurs comportements quotidiens en relation avec les attitudes des autres diasporas qui vivent actuellement dans le monde occidental.

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La Cour d’assises a condamné jeudi l’ex-major rwandais Bernard Ntuyahaga à 20 ans de prison.

Belga

06/07/07

major_bernard_ntuyahaga.jpgL'ex-major rwandais avait été reconnu coupable mercredi soir de l'assassinat de dix casques bleus belges, tués le 7 avril 1994, ainsi que d'un nombre indéterminé d'homicides commis à Kigali entre cette date et le 6 juin 1994.

Le procureur fédéral avait requis la perpétuité. Il avait notamment estimé que l'accusé "ne regrettait rien" et "qu'il agirait de la même manière aujourd'hui". La cour et le jury lui ont néanmoins accordé deux circonstances atténuantes. Dans son arrêt, la présidente Karin Gérard a estimé qu'il fallait tenir compte du contexte socio-historique du Rwanda, qui se traduisait par des "tensions profondes et des discriminations régionales".
 

Quel que soit le rôle joué par l'accusé, il y avait des appels à la haine diffusé quotidiennement par des médias", comme la radio RTLM, a fait remarquer la présidente. Une deuxième circonstance atténuante lui a été retenue, à savoir le fait qu'il a sauvé la vie de Tutsis, non pour un profit personnel mais par amitié. "Il (Bernard Ntuyahaga) n'est qu'un maillon d'une chaîne importante", a dit la présidente.

"Ce n'est pas une peine désespérante. Elle peut s'inscrire dans une possible réconciliation de la société rwandaise", a dit la présidente, à l'adresse de l'accusé avant de clore le procès.

Belga

ANGOLA-RDC: OU SONT LES EXCELLENTES RELATIONS ?

El Memeyi Murangwa  

 

07/07/07 

 

refoules_congolais.jpgQue dira encore le ministre congolais de l’intérieur ou celui des affaires étrangères après le refoulement du territoire angolais des 28 Congolais dans des conditions inhumaines ? Blessures, fractures, tels sont les signes de torture  que présentent les anciens Zaïrois chassés de l’Angola par un régime qui se dit entretenir des bonnes relations avec Kinshasa ! 

Payé en monnaie de singe 

Les autorités angolaises paient à leurs façons les soins reçus du Zaïre : refuge, bourse d’étude, soutien logistique pour la lutte de l’indépendance. Il faut vraiment être étranger et ne pas connaître l’histoire du Congo pour tolérer des tels actes. Le Président  Dos Santos a t-il oublié que le fondateur du MPLA, parti au pouvoir en Angola s’organisa politiquement à partir de la rue Maringa à Kinshasa ? Pour rappel le Dr. Augustino Neto y tenait une polyclinique ayant servi de base pour la lutte de libération.  Le premier coup de feu contre l’occupant portugais fut tiré du territoire congolais. 

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RDC: consolider la paix

Kinshasa/Bruxelles, 5 juillet 2007 :

Les six premiers mois du gouvernement légitime de la République démocratique du Congo ont été plutôt décevants : le processus de paix est toujours en danger et la démocratie encore très fragile.

 

le dernier rapport de l’International Crisis Group, analyse les premiers mois du gouvernement du président Joseph Kabila et met en garde contre le risque de voir les progrès accomplis pendant la transition être remis en cause. Si la période de transition a permis d’unifier le pays et d’améliorer la situation sécuritaire sur une grande partie du territoire, les nouvelles institutions se caractérisent par leur faiblesse, des abus ou sont carrément inexistantes. L’armée intégrée est désormais à l’origine de la plupart des violations des droits humains, et une nouvelle crise se profile à l’Est du pays.

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Naufrage sur le Lac Kivu (RDC): 9 morts et une vingtaine de disparus.

AFP

06/07/07

 

KINSHASA, 6 juil 2007 (AFP) – Neuf personnes sont mortes et au moins une vingtaine sont portées disparues après le naufrage jeudi soir de leur embarcation sur le lac Kivu, dans l'est de la République démocratique du Congo (RDC), a-t-on appris vendredi auprès des autorités locales.

Le naufrage s'est produit de nuit, à la hauteur de l'île d'Idjwi, au Sud-Kivu, lorsqu'un bateau – qui effectuait la liaison entre Bukavu (Sud-Kivu) et Goma (Nord-Kivu) – a heurté une pirogue motorisée qui s'est renversée, a expliqué à l'AFP le président des armateurs d'Idjwi, Norbert Semivumbi.

"Selon les premières informations en notre possession, ce naufrage a fait neuf morts et au moins 20 personnes sont portées disparues", a précisé César Ntumba, administrateur du territoire d'Idjwi.

Une cinquantaine de passagers ont pu être secourus. Certains d'entre eux ont gagné les rives d'Idjwi à la nage, tandis que d'autres ont été récupérés par le bateau qui avait percuté la pirogue, a précisé M. Ntumba.

Selon la radio Okapi, parrainée par l'ONU, les feux de signalisation du bateau ne fonctionnaient pas.

Les autorités locales ignoraient encore vendredi le nombre exact de passagers qui se trouvaient à bord de la pirogue au moment de l'accident.

Vendredi après-midi, la marine congolaise et la Mission de l'ONU en RDC (Monuc) poursuivaient des recherches sur le lac pour tenter de retrouver les corps des victimes ou d'éventuels survivants.

Les naufrages sont fréquents sur les lacs et rivières de RDC, notamment du fait de la surcharge des embarcations, dont le nombre réel de passagers ne correspond généralement pas aux données des registres de navigation, et d'un mauvais balisage des voies navigables.

AFP

Kamako : nouvelle vague d’expulsés congolais d’Angola.

Radio Okapi

06/07/07

 

Un premier groupe de cette vague est arrivé mercredi dans cette localité située à 400 kilomètres, au sud-ouest de Kananga. Ils étaient 28 parmi lesquels 2 Ivoiriens, selon les sources, rapporte radiookapi.net

La nouvelle est venue d’une ONG de droits de l’homme de Kamoko. Elle est confirmée par la DGM (Direction générale des migrations). Ces sources indiquent que ces expulsés ont été remis par la sécurité angolaise à la DGM. La plupart sont actuellement admis aux soins dans un centre médical de la place. Selon le médecin responsable de ce centre, ces personnes présentent des petites blessures sur le corps et des traces de tortures. Faits appuyés par le témoignage d’une des Congolaises expulsées. D’après cette dernière, avant d’être chassés, ils ont été victimes de mauvais traitements de la part de la police angolaise. Plus de 2000 autres Congolais seraient actuellement en état d’arrestation dans le village angolais Maludji, en attente d’être expulsés à leur tour, selon cette source. Concernant les deux Ivoiriens, ceux-ci seront transférés à Kinshasa.

Interrogé, le consul de l’ambassade de l’Angola a dit ne pas être informé de ces nouvelles expulsions. A Kamako cependant, l’arrivée de ces Congolais inquiète les habitants de la place.

Radio Okapi

Etienne Tshisekedi: Le sens d’un combat.

Prof. Eddie Tambwe

 

livretshisekedi.jpgAu début des années 1980, au plus fort de la dictature imposée par le « Maréchal » Mobutu, un groupe de treize parlementaires zaïrois entreprend un combat audacieux. Dans ce contexte répressif de parti unique, les 13 dissidents fondent au péril de leur vie, un deuxième parti politique : L’Union pour la Démocratie et le Progrès Social (UDPS). Parmi eux, Etienne Tshisekedi wa Mulumba.  Qui ne tarde pas a devenir le chef de file naturel de cette opposition mobutiste…Arrestations, internements forcés dans les hôpitaux psychiatriques, tortures, humiliations, défections des compagnons de lutte, meurtre des proches collaborateurs : Aucune de ces intimidations n’entamera la détermination d’Etienne Tshisekedi, dont l’action réussira à affaiblir substantiellement le régime mobutiste, à favoriser in fine, l’arrivée en mai 1997 de Laurent-Désire Kabila au pouvoir.Ce livre est le récit de ce long et difficile combat, riche en rebondissements : accords, concertations, conclaves, dialogues, etc. A l’aide d’un fonds documentaire impressionnant, l’auteur répond, avec minutie, aux interrogations essentielles sur le sens du combat de celui que les Congolais considèrent désormais comme le plus grand combattant de la liberté, après Lumumba. 

L’auteur de ce livre, Dieudonné Ilunga Mpunga est diplômé de droit de L’Université de Kinshasa. Analyste politique, il est chercheur en histoire politique de la RDC. Avocat au Barreau de Kananga. Cet ouvrage est diffusé en RDCongo et en Afrique centrale par Judée Badibanga

Téléphone (+243) 89 89 15 000. 

E-mail : bjudee@yahoo.fr 

 

 

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La bombe des Kivu.

Kenge Mukengeshayi

04/07/07

Encore une fois, l’Est de la RD Congo gronde. Comme un volcan à la veille d’une éruption aux conséquences incalculables. Tous les spécialistes le disent : la lave, en fusion, menace sérieusement les fragiles équilibres de la paix, du processus démocratique et de la cohabitation ethnique.
La nouvelle surchauffe a un nom : Laurent Nkunda. Très médiatisé, recevant journalistes, diplomates et envoyés spéciaux, l’homme n’est plus une simple vedette tenté par l’aventure. Il dispose d’une armée qui lui permet de contrôler la frontière à partir de Rutshuru. Le mixage lui assure une incontestable influence sur un territoire qui s’étend jusqu’à Goma, sur lequel il entend imposer le droit au retour des réfugiés congolais du Rwanda, que ses sources estiment à plus de 40.000 personnes, et leur procurer un « espace ». « Une véritable bombe ethnique » analysent tous les observateurs sérieux, inquiets du fait que Kinshasa ne présente jusqu’ici aucune alternative crédible. Il est vrai que coincées entre les engagements pris lors des négociations de Kigali (janvier 2007), la frustration de plus en plus grandissante des Kivutiens, très remontés à la suite du retour en grâce de Nkunda, et la pression sinon l’hypocrisie de la Communauté internationale hostile – dixit le Conseil de sécurité – à toute solution militaire, les autorités congolaises ne disposent pas d’une marge sérieuse de manœuvre.
Enfin, dans la pure tradition des insurrections congolaises, qui veut que celui qui dispose d’une armée et d’un territoire doit en plus se doter d’un instrument politique, Nkunda a fait mieux que cela, en emboîtant le pas à ses aînés – qui ont échoué, explique-t-il, dans la mission de créer un nouvel ordre politique – en mettant sur pied le Conseil National pour la Défense du Peuple (CNDP). Un mouvement qui n’aurait aucun caractère ethnique, a cru devoir préciser, sans doute pour le besoin de la cause, un leader politique originaire du Kivu, comme pour donner à la démarche de Nkunda une envergure nationale en évacuant en amont toute tentative de la réduire à une dimension ethnique.

Résistants contre forces négatives

Reste que cela ne suffit pas – du moins jusqu’à présent – pour calmer le grondement qui monte des Kivus. Où les négociations de Kigali avec Nkunda, ça ne se cache plus, ont prodigieusement irrité les populations. Deuxième motif de frustration : le mixage, considéré ici comme un chèque en blanc grâce auquel Nkunda pourra continuer « en toute impunité », se fâche-t-on à l’Est, à étendre son emprise et surtout à narguer les autres groupes armés ayant accepté le brassage. Les Kivutiens reprochent aussi à Kinshasa et à la Monuc de ne rien faire pour stopper la montée en puissance de Laurent Nkunda. Bien au contraire, aussi bien le mixage que les négociations de Kigali arrachés par le Chairman du CNDP sont interprétés ici comme une bénédiction accordée à l’homme fort de Bwiza.
Enfin, nombreux sont, ici, qui s’opposent à un retour non contrôlé des réfugiés congolais du Rwanda, considérés comme des infiltrés potentiels, et la tête de pont de l’activisme rwandais pour la domination – pour les uns – ou la conquête – pour les autres – de l’Est de la RD Congo.
Bref, si rien n’est fait et à temps, les risques d’une brutale et dangereuse montée des tensions ethniques sont réelles, ce qui ferait reculer la RDC d’une dizaine d’années. Il suffit désormais, de jeter un regard sur les groupes dits de résistance qui ont commencé à proliférer dans l’est. Certains Hutu, Hunde, Nande, Nyanga et Tembo se sont ainsi organisés dans une coalition des « Résistants Patriotes Congolais » (PARECO). D’autres « fils et filles » du Nord-Kivu ont créé le Front National pour la Résistance (FNR), doté d’une « branche armée » dénommée « Commandement des Forces Patriotiques Congolaises ». Un terrible engrenage semble ainsi se mettre en place. Il s’agit, désormais, de savoir qui a les moyens, et la volonté politique de le stopper.

 

Le Phare

Laurent Nkunda défie la Monuc et les FARDC.

Jean N’Saka wa N’Saka

04/07/07

 

general_laurent_nkunda.jpgOn le prendrait à première vue pour un arriviste farfelu qui voudrait forcer son entrée dans le monde politique et diplomatique. Mais Laurent Nkunda – puisque c’est de lui qu’il s’agit ici – semble savoir ce qu’il dit et ce qu’il fait. Coup sur coup à trois reprises, il s’est signalé par des faits et gestes troublants et prémonitoires qui ne paraissent pas ébranler la conscience des sphères officielles et diplomatiques. D’abord par son « Cahier des charges » du 14 octobre 2006 élaboré à l’occasion de sa rencontre avec un envoyé spécial du président Joseph Kabila à Kigali sous la modération du bras droit militaire du président Paul Kagamé, le général James Kabarebe, document dans lequel il dresse sévèrement le constat d’échec de la transition et du processus électoral ; ensuite le 17 mai 2007 par une lettre musclée adressée au Premier Ministre Antoine Gizenga, lui rappelant son cahier des charges et se plaignant que la réponse à ce document tarde toujours à lui parvenir. Cette fois-ci le 1er juin 2007 par sa Note d’évaluation du «Gentleman agreement» à plusieurs destinataires, président de la RDC ; président rwandais ; président sud-africain ; présidents de l’Assemblée nationale et du Sénat de la RDC ; ministre de la Défense de la RDC ; Général d’Armée James Kabarebe du Rwanda ; Général-Major John Numbi de la Force aérienne de la RDC.

Laurent Nkunda agit graduellement dans ses travaux d’approche afin de pouvoir atteindre son objectif, s’imposer comme l’interlocuteur valable à l’Est et s’affirmer sur la scène politique congolaise où il se destine à jouer un rôle de premier plan sur les plans politique et militaire. Il fait étalage de ses prouesses et glorieux faits d’armes pour démontrer qu’il devient indispensable et incontournable dans les circonstances actuelles où le brasier de l’Est vient de se rallumer avec plus d’intensité et d’horreurs commises par les forces négatives résiduelles de l’armée rwandaise du régime déchu d’Habyarimana. Il énumère une vingtaine de localités que ses hommes mixés ont libérées de la férule de ces forces de destruction. Ces éléments ont été traqués et boutés hors des territoires de Rutshuru et de Masisi et Rive, Busendo, Kirama, Kahumiro, Nyamitwitwi, Numule, Kigalikigali en Territoire de Rutshuru, et Mahanga, Chugi, Remera, Nyabiondo, Kivuye, Kalmbe, Bibwe, Katoyi, Luhinzi et Mitimingi en Territoire de Masisi.
Nkunda n’arrête pas là l’énumération de son trophée d’exploits contre les forces négatives. Il révèle que « Les coupeurs de route ont été totalement éliminés sur la route Kanyabayonga-Kiwandja (Rutshuru) – Le parc national des Virunga (PNV) a été entièrement débarrassé des braconniers et ont voit déjà revenir les lions et les hippopotames. – Les bataillons fournis par les FARDC et ceux fournis par le CNDP opèrent dans un esprit de confiance retrouvé et d’entente parfaite et les commandements des brigades mixées maîtrisent parfaitement leurs unités sur terrain. » Cette énumération de ces faits d’armes est assortie d’un nota bene (NB) de défi en caractère gras pour attirer particulièrement l’attention et que l’on peut ainsi lire : « Monuc et FARDC n’ont jamais affiché un bilan comparable dans le passé et ceci explique en partie la hargne de la mission onusienne contre le mixage tout comme celle de certains députés et leurs membres du gouvernement proches des FDLR et des groupes armés incontrôlés ». J’emprunte toutes ces données au quotidien Le Phare du vendredi 22 juin 2007, qui a le génie d’obtenir énigmatiquement en exclusivité la primeur des documents issus de l’antre de Nkunda à Bwiza.

 

 

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