Monthly Archives: October 2007

RDC: Série noire à Butembo.

Kivupeace

25/10/07

 

butembo.jpgL’histoire réunit tous les ingrédients d’une série noire, dont les dénouements arrivent toujours à l’arrestation du criminel après avoir passé au peigne fin tous les mobiles et interrogé tous les suspects potentiels. Seulement l’histoire ne se passe pas dans un roman d’Agathe Christie ni dans un film de Derick mais à Butembo au Quartier Matanda, cellule Maimirwa  au numéro 6. Il est 21h lorsque voulant rentrer chez lui, feu MUHINDO Bitehe, est abattu à bout portant par des hommes armés non autrement identifiés qui n’emporteront rien  prenant soin de s’enquérir que le commerçant git bel et bien dans son sang qui se vidait à travers les dizaines des plaies laissées par les balles. En véritable polar digne de ce nom, le forfait a été exécuté par des professionnels qui n’ont laissé aucune trace, la sentinelle n’ayant même pas eu le temps d’ouvrir  la porte et d’apercevoir les ombres se fondre dans la nuit macabre.Il est mort  laissant derrière lui 10 enfants et une veuve.  

A  l’âge où l’on prend la retraite, ce commerçant, agriculteur et fermier a passé toute sa vie à travailler dur pour laisser un héritage à sa progéniture nombreuse dans un pays où  le service social n’existe pas. Qu’estce qui manque à la série noire? L’absence d’enquêteurs qui sont venus avec un grand retard, le matin à 10h00, sans aucun matériel de prise d’empreintes te digitales, inexistant au Congo,  ils ont été chassés par une foule d’étudiants en colère pour exprimer leur ras le bol devant la montée de l’insécurité montante dans cette ville de Butembo. Le maire de la ville de Butembo n’a pas échappé à la colère de la population qui a perdu un homme de développement, un père pour toute la population, un exemple pour le dynamisme de la Cité de Butemebo. Le maire de la ville ligoté et obligé de rester à côté du cadavre, est accusé d’être complice   de cette insécurité qui vient d’emporter plus de quatre  personnes ressources dans les villes de Beni-Butembo. Qui aurait tué Kambale Kisonia? Qui a tué MUHINDO BITEHE? Quel est le mobile de ce crime ? MUHINDO ne s’est jamais intéressé de la politique, un homme de paix qui s’occupait plus de ses champs et de ses affaires. Est-il mort par jalousie d’autres commerçants non contents de l’ascension   de cet homme de Dieu?  Il est mort, il n’a pas vu ses assassins. Une chose est certaine, l’intolérance a élu domicile dans cette partie de la république.


En attendant que nous soyons inscrits à l’école de la démocratie, pour apprendre le débat, la tolérance, nous demandons
aux congolais de respecter les vies et de savoir qu’une vie en vaut une autre.

 

 www.kivupeace.org

RDC: L’argent de la discorde.

Kivupeace

25/10/07

 

francs_congolais.jpgLe Président de la République Joseph KABILA vient de séjourner à deux reprises au Nord Kivu à l’espace d’un mois seulement. Dans ces valises, des millions des francs congolais pour capturer le Gén. Dissident Laurent NKUNDA MIHIGO. Combien a-t-il mis en jeu pour que tous les spécialistes mis à la trousse du Général lui remettent la tête d’un NKUNDA et de ses acolytes? Personne ne le sait, c’est leur secret à eux. Celui qu’il recevait lui promettrait qu’il était le
seul capable de lui ramener la tête du Général Laurent NKUNDA MIHIGO et il sortait avec une mallette pleine des Francs congolais.

Le député DUNIA Bakarani, seul porte parole attitré et autoproclamé de la communauté Tutsi a empoché plus de 75000US Dollar qu’il distribue à compte goutte. Voilà qu’au moins il se rend utile car depuis qu’il a été élu au parlement, son électorat ne l’a jamais vu levé un seul doigt, il se fait un bon prétexte pour redonner une santé à ses affaires. Quant au Président de la République, il attendra longtemps avant de recevoir la tête de son NKUNDA.

Certains officiers qui avaient reçu de cet argent commenceraient à payer :  Le Colonel Smith Gihanga, commandant des opérations militaires  du front de Rutshuru serait aux arrêts depuis hier avec ses deux adjoints SAFARI et ZAIRE. Motif, le revers subit sur ces deux fronts : Les FARD  ont perdu le Camp de Rumangabo avec tout l’arsenal qu’il y avait dedans. La cité de Rugari est tombée  entre les mains des militaires du CNDP qui ont fait subir une perte lourde en hommes, plus de 150 militaires dont deux majors et sans compter les blessés de guerres.

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RD Congo: les forces de sécurité gouvernementales liées aux tortures selon Amnesty

Dépêche AFP

25/10/07

 

L'organisation de défense des droits de l'Homme Amnesty International a appelé jeudi, dans un rapport, le gouvernement de la République du Congo à enquêter sur les accusations de tortures et tueries portées à l'encontre des forces de sécurité gouvernementales.

Amnesty concentre son attention sur les violences commises à Kinshasa en marge des élections de 2006, considérées comme les premiers scrutins libres et démocratiques en 41 ans dans l'ex-Zaïre.

L'organisation, basée à Londres, pointe du doigt la Garde républicaine (GR) et la Direction des renseignements généraux et services spéciaux de la police (DRGS) pour des attaques menées contre des opposants du président Joseph Kabila.

"De nombreuses personnes ont été ciblées par les forces de sécurité simplement parce qu'elles partagent la même origine ethnique que Jean-Pierre Bemba, le principal opposant politique de Kabila pendant ces élections", a déclaré Erwin van der Borght, responsable du programme Afrique d'Amnesty.

"Nombre d'entre elles sont encore emprisonnées sans avoir été inculpées ni être passées en procès", a-t-il affirmé. Les chercheurs d'Amnesty ont aussi rapporté des cas de "torture et mauvais traitements" en prison, a-t-il indiqué, soulignant: "En conséquence de cela, le climat d'intimidation et de peur à Kinshasa s'est intensifié".

Le rapport met également en cause la Garde républicaine pour des violations des droits de l'Homme lors des combats meurtriers de mars 2007, qui ont causé, selon Amnesty, la mort d'environ 600 personnes.

Il implique de même les fidèles de Jean-Pierre Bemba, qui séjourne au Portugal depuis le 11 avril, pour des abus des droits de l'Homme à la même période.

Amnesty appelle donc le gouvernement à accélérer ses efforts pour créer une armée, une police et des services de renseignements représentatifs des diverses composantes de la société, afin de résoudre ces problèmes.

L'organisation demande aussi que des mesures soient prises pour mettre fin à "une culture institutionnelle permissive au regard des violations des droits de l'Homme", due selon elle à la désorganisation des systèmes judiciaire et policier.

"De nombreuses forces de sécurité continuent à servir des intérêts politiques et c'est au coeur du manque de confiance ressenti par la plupart des Congolais", a estimé M. van der Borght.

Amnesty a cependant salué certains "récents développements bienvenus" en ce qui concerne la protection humanitaire, avec l'établissement de comités provinciaux chargés d'établir la véracité ou non des accusations de violations des droits de l'Homme à l'endroit des services de sécurité.

Ce rapport intervient deux jours après des conclusions alarmantes d'Human Rights Watch (HRW), qui a dénoncé des crimes "épouvantables" perpétrés contre des civils au Nord-Kivu (est) et exhorté Kinshasa et l'ONU à favoriser une solution politique à la crise.

Foyer de rébellions ayant déjà plongé à deux reprises l'ex-Zaïre dans la guerre (1996-97 et 1998-2003), le Nord-Kivu est depuis fin août le théâtre d'affrontements entre l'armée régulière, des troupes dissidentes ralliées à l'ex-général tutsi congolais Laurent Nkunda, mais aussi des milices locales Maï Maï et des rebelles hutus rwandais des Forces démocratiques de libération du Rwanda (FDLR), tous deux hostiles à Nkunda.

 

AFP

DR Congo arming FDLR – Dr Sezibera

By James Munyaneza

25/10/07

 

fdlr_captives.jpgKIGALI – The Congolese government army is collaborating with FDLR rebels and has lately increased its weaponry supplies to the Genocide force, a top aide to President Paul Kagame has said. Dr Richard Sezibera, Kagame’s Special Envoy to the Great Lakes Region, has said that Congolese military commanders have continuously supplied the Democratic Forces for the Liberation of Rwanda (FDLR) rebels with arms, ammunition and other war materials.

FDLR is composed of remnants of the defunct Rwandan government soldiers (ex-Far) and Interahamwe militia, which are jointly blamed for the massacre of over a million people during the 1994 Genocide.

“There is now overwhelming information on the collaboration of the FDLR with many FARDC (Congolese army) units.

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Congo forces rape, kill Kabila opponents – Amnesty

Reuters

25/10/07

 

KINSHASA, Oct 25 (Reuters) – The Democratic Republic of Congo should reform its security forces and prosecute members accused of raping, murdering and torturing suspected opponents of President Joseph Kabila, Amnesty International said on Thursday.

The British-based rights body said government security, intelligence and police services continue to abuse human rights despite last year's landmark elections, designed to end years of war and chaos in the vast, unruly central African state.

"Far from protecting the people of the DRC, the state security services remain agents of torture and death," it said.

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RDC: En 1999, plus d’un millier des Tutsi congolais persécutés furent évacués du Congo vers les USA.

El Memeyi Murangwa

 

 

24/10/07 

 

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Victimes d’une persécution gouvernementale.

 

Au mois d’aout 1998, le gouvernement Kabila lança la chasse à l’homme invitant la population à dénicher les vermines-Tutsi à   éradiquer selon les termes propres de l'ancien vice-président Abdoulaye Yerodia et leur faire subir le supplice du collier.  Le Président  Laurent Désire Kabila mit sur pied des brigades d’auto- défenses populaires (CPP) qui aidèrent l’armée nationale et la police à procéder aux fouilles pour arrêter et massacrer des paisibles citoyens dans les grandes villes du pays qui ont eu la seule faute de naitre Tutsi ou d’avoir des traits nilotiques.  

L’armée nationale que dirigeait son fils Joseph Kabila, revenu précipitamment de Chine, se distingua dans des massacres à grande échelle dans les milieux urbains.  Les militaires refusant de combattre une nouvelle rébellion se montrèrent plus efficaces dans les assassinats sélectifs, les pillages et les viols à l’égard des Tutsi.  Plus tard par manque des boucs-émissaires, ils se jetèrent sur le reste de la population, provocant la naissance des plusieurs milices qui tentent à ce jour de stopper l’arbitraire encouragé présentement par le pouvoir. 

Ministres, Vice-ministres et officiers supérieurs relayèrent une campagne xénophobe sans précédant dans l’histoire du pays.  Abdoulaye Yerodia (sénateur PPRD/J.Kabila) utilisa les medias nationaux pour pousser le peuple à la vindicte et continua ce jeu dangereux jusqu'à la veille des dernières élections présidentielles.

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Laurent Nkunda accepte l’intégration de ses troupes.

France 24 / Reuters

24/10/07

 

l.m._nkunda.jpgLe général Nkunda a annoncé l'intégration d'une partie de ses hommes au sein de l'armée gouvernementale. Cette décision ne garantit pas pour autant la fin des affrontements.

Le général rebelle Laurent Nkunda a annoncé mercredi son intention d'envoyer une partie de ses hommes dans un centre de regroupement, afin de les intégrer au sein de l'armée gouvernementale congolaise (Fardc) dans le cadre d'un processus de paix dans l'Est de l'ex-Congo belge.
"Aujourd’hui, je vais envoyer plus de 500 de mes militaires au camp de brassage de Kirolirwe", a-t-il annoncé à Reuters par téléphone de son fief de Masisi, dans l'est du Nord-Kivu.

Bien qu’il ne s’agisse que d’une infime partie de ses troupes, estimées entre 6000 et 8000 hommes, Laurent Nkunda considère avoir fait preuve de bonne volonté. Il attend maintenant une réaction de la part du gouvernement.

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Cinq questions à Joseph Mudumbi.

E.S.

23/10/07

 

1. Les propos de Me Azarias Ruberwa à la RFI sur la situation sécuritaire à l’Est de la RDC a provoqué un controverse dans certains milieux politiques. Qu’en pensez-vous ?

J’ai lu dans votre journal du vendredi 19 octobre 2007, une interview attribuée à l’ancien vice-président de la RDC, Me Azarias Ruberwa. Je refuse de croire que l’ancien vice-président chargé des questions politiques, défense et sécurité pendant les trois dernières années de la Transition congolaise puisse se moquer publiquement de mes compatriotes tutsi, de Nkunda, des Kivutiens et des Congolais en général. En évoquant aujourd’hui la question du retour des réfugiés tutsi congolais, il oublie de dire au monde qu’il était chargé d’organiser leur retour et que pendant trois ans, il n’a ramené personne alors qu’il aurait pu et dû le faire. Il avait sous sa responsabilité, les ministères de l’Intérieur, des Droits humains et des Affaires humanitaires. Par contre, à cause de la mauvaise gestion de ses responsabilités, d’autres Tutsi congolais en l’occurrence, les Banyamulenge du Sud-Kivu ont dû fuir leur pays et deux ans durant, il n’a pas pu les ramener.

2. Parlez-nous de Laurent Nkunda et de Tutsi ?

Si Laurent Nkunda est aujourd’hui ce qu’il est, c’est l’ancien vice-président Ruberwa qu’il l’a induit en erreur. Nkunda l’a dit lui-même à Bukavu en indiquant qu’il exécutait les ordres de Ruberwa. Et personne de ceux qui connaissent la vérité ne peut le lui permettre. S’agissant de la discrimination des Tutsi, je pense que l’ancien vice-président n’a pas raison de dire que le gouvernement congolais tolère cette discrimination. A ce sujet, je pense qu’il n’a pas raison de dire que le gouvernement congolais discrimine les Tutsi.

3. Voulez-vous donner assez de précisions sur cette question relative à la discrimination des Tutsi ?

Je pense que l’ancien vice-président n’a pas raison de dire que le gouvernement discrimine les Tutsi. Est-ce parce qu’il n’est plus aux affaires qu’il y a discrimination ? Quand il occupait une des plus hautes responsabilités du pays, il ne parlait pas de discrimination. Cette discrimination, est-elle antérieure ou postérieure à son mandat de trois ans à la tête du pays ? Qu’a-t-il fait pour régler cette question ? Je pense que Me Ruberwa a encore le sens de la mesure. Comparer l’apartheid de l’Afrique du Sud d’hier et la situation des Noirs des Etats-Unis à celle des Banyamulenge du Sud-Kivu est une exagération. Car, dans cette province, le commandement des opérations militaires et le ministère provincial de l’Intérieur sont gérés par des compatriotes Banyamulenge, dont personne ne se plaint à Bukavu. Au moment où tout le monde tend vers la modération des propos pour privilégier la convivialité des communautés, les déclarations de Me Ruberwa ne sont pas du tout pacifiques. Après dix ans de conflits, les frictions existent, certes, entre communautés, mais les élever au niveau de l’Apartheid est une attitude inacceptable à nos jours.

4. Que dites-vous de la question des Interahamwe ?

Lorsque Me Ruberwa était vice-président de la République, il avait, entre autres compétences, la neutralisation des forces négatives, à savoir le désarmement et le rapatriement des Interahamwe. Or, aucun compte rendu du Conseil des ministres ne renseigne qu’il a, un seul jour présenté un plan visant le règlement de cette question.

Par contre, les efforts qui avaient été entrepris au Sud-Kivu de rapatrier les Interahamwe par le commandant militaire de cette région ont été sapés par le vice-président qui lui a fait la guerre jusqu’à le faire partir de cette province. Le conseil qu’il prodigue au gouvernement de résoudre de manière politique la condition des Tutsi est sans objet. Je me demande qui l’a empêché de l’appliquer quand il était vice-président chargé des questions politiques ? A nouveau, on ne l’a pas entendu faire une proposition dans ce sens durant les trois années de la transition. Pendant cette période, qu’a-t-il fait pour les Tutsi ? Avant de parler en leur nom, il aurait pu faire son bilan en leur faveur. Enfin, en rapport avec la question de marginalisation des Tutsi dans le processus congolais, je voudrai rappeler au vice-président que des Tutsi ont été élus à l’Assemblée nationale et au Sénat y compris dans des circonscriptions où n’habitent pas les Tutsi. C’est le cas des trois honorables parlementaires qui siègent valablement dans ces deux institutions.

5. Concrètement, que faut-il faire pour le retour de la paix à l’Est de la RDC ?

Le Congo d’aujourd’hui n’est pas celui d’hier. Sinon, un espoir est en train de naître. Je profite de cette opportunité pour dire aux leaders politiques du Kivu dont je suis originaire, qu’ils ont une responsabilité particulière dans le retour de la paix en RDC. A travers leurs déclarations, attitudes et actions politiques, ils doivent privilégier les aspects qui unissent les gens plutôt que ceux qui les séparent. Car, nous avons tous quelque chose en commun, c’est le Congo.

Acteur politique de l’AMP et ancien membre du gouvernement de Transition.

 

 

Le Potentiel

Regional MPs’ peace team to meet Kabila, Nkunda.

By CHARLES KAZOOBA

Kampala, 10/24/07

 

KAMPALA – Parliamentarians from 11 countries in the Great Lakes Region and the Horn of Africa have formed a peace team, which among other initiatives will meet President Joseph Kabila of the DR Congo and Congolese rebel leader Gen. Laurent Nkunda.

Two Ugandan legislators who are part of the regional inter-parliamentary forum have said that in Kampala that the peace team formed in Arusha, Tanzania early this month would first head to Darfur, Sudan.

“Apart from meeting the two (Kabila and Nkunda) we intend to meet all warring parties in the region,” Onyango Kakoba, a Uganda legislator heading the forum’s desk in Kampala told The New Times this week.

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La troïka de la SADC tient une réunion sur la situation en RDCongo.

Xinhua

23/10/07

 

LUANDA — La troïka pour l'organe sur la coopération en matière de politique, de défense et de sécurité de la Communauté de développement de l'Afrique australe (SADC) a tenu lundi à Luanda une réunion extraordinaire pour analyser la recrudescence des conflits armés dans l'est de la RDCongo.

La réunion extraordinaire présidée par le ministre angolais des Affaires étrangères, Joao Miranda, a regroupé les diplomates swazi et tanzanien en leur qualité de vice-président et de président sortants de l'organe de la SADC.

Des experts de ces trois pays ont discuté, au siège du ministère angolais de l'Intérieur, des sujets relatifs aux conflits armés en RDCongo.

L'Angola a pris la tête de la présidence de l'organe de la SADC depuis août 2007 à Lusana en Zambie, lors du 27e sommet des chefs d'Etat et de gouvernement de la SADC.

Xinhua